
Prélude numéro 24 Chopin
Légèrement, atténuée Une ombre Apparaît, qui glisse Lentement Pour enfin Tout disloquer Je n’ai pas revu exactement l’impression De mon souvenir Mais seulement Quelques marques...
Légèrement, atténuée Une ombre Apparaît, qui glisse Lentement Pour enfin Tout disloquer Je n’ai pas revu exactement l’impression De mon souvenir Mais seulement Quelques marques...
Le ciel est léthargique et gris bleuté Langues et herbes sèches Occlusion des derniers rayons raides Soleil berné Et la soirée s’apprête Pas à droite...
Puisqu’il n’est pas possible de te puiser ici Je te transplante dans un monde d’échos Parallèle J’aperçois déjà ta main
Le jour avait à peine mouché sa mèche Et J’ai vu Quelques tourbillons imprégnés de la fraîcheur suave abordant lentement tes draps qui se soulevaient...
Sans doute il faudra Que ma peau embrasse de plein fouet la lumière dans ma chute Que je perde enfin une bonne fois pour toute...
Des clapotis superbes aspergés de rayons s’enroulent et se déroulent dans tes mouvements quasi métronomiques Vagues ! Se froissent et se défroissent les plissements de...
Le sable et les blocs polis orchestraient le bruissement quasi imperceptible de tes cheveux défaits Mais Sur le pont Surpris Je t’ai laissé filer
Les éclairs dans les volutes épaisses brisent ce ciel nocturne du mois d’août Les cordes de varech qui s’entrelacent essayent de retenir les vagues mais...